Avec le soutien exceptionnel

16 septembre 2023 >
14 janvier 2024

Du mardi au dimanche
13h > 17h45


Plein tarif : 5 €
Tarif réduit : 4 €
Accessible sur le Pass Culture
Gratuit C’Art

Visites guidées : 7 / 6 €
Samedi et dimanche
15h30

Esclave d’amour et Lumière des yeux : Abd-el-Gheram et Nouriel-Aïn (légende arabe)

Étienne Dinet (1861-1929), RF1216, Paris, musée d'Orsay, photos © RMN-Grand Palais (musée d'Orsay) / Hervé Lewandowski

Avec le soutien exceptionnel

16 septembre 2023 >
14 janvier 2024

Du mardi au dimanche
13h > 17h45

Plein tarif : 5 €
Tarif réduit : 4 €
Accessible sur le Pass Culture
Gratuit C’Art

Visites guidées : 7 / 6 €
Samedi et dimanche
15h30

Abdessamad EL MONTASSIR, Ayachef, 2018, FNAC 2021-0017, Centre national des arts plastiques, © Adagp, Paris, 2022 / Cnap

L’IMA-Tourcoing présente une rétrospective consacrée à l’œuvre d’Étienne Dinet, peintre à la destinée hors du commun. Cette exposition cherchera à résoudre un double mystère : comment l’œuvre d’un peintre français d’époque coloniale est-elle devenue une des identités visuelles de l’Algérie après l’Indépendance ? Pourquoi Étienne Dinet est l’un des seuls peintres orientalistes qui échappe au reproche d’exotisme et au procès fait au regard colonial ?

Cette exposition présente les collections exceptionnelles de broderies marocaines du Musée d’Angoulême – provenant pour l’essentiel de l’ancienne collection Prosper Ricard – mais aussi des créations contemporaines qui viennent dialoguer avec les œuvres traditionnelles.

Étienne Dinet a reçu à Paris une formation académique mais ses seuls maîtres furent Rembrandt dont il étudia les œuvres ainsi que Delacroix dont il occupa un temps l’atelier. Son réalisme puise d’emblée dans les exemples de Jean-François Millet et de Jules Bastien-Lepage. Il a médité les leçons des impressionnistes et des post-impressionnistes sans en tirer les mêmes leçons que les modernes. Il découvre l’Algérie en 1884 à l’occasion d’un voyage. À partir de 1895, il renonce à toute source d’inspiration en dehors des sujets algériens et s’installe dans l’oasis de Bou-Saâda dans la famille de Sliman Ben Ibrahim qui sera son trait d’union avec la société saharienne.

Sa peinture s’inscrit en décalage avec les peintres orientalistes qui ne s’attachaient qu’aux aspects les plus rutilants, le plus souvent fantasmés, d’un « Orient » factice qu’il dénonce. Dinet est avant tout un peintre réaliste, mais il peint un réel extraordinaire. Il découpe des fragments de réalité afin de restituer à ses sujets la plus grande dignité. L’unité, la continuité et la puissance de conviction de sa démarche passent par sa peinture mais également par ses illustrations de nombreux textes poétiques, historiques ou légendaires qui seront présentés dans l’exposition.

Étienne Dinet va se convertir à l’islam en 1913 sous le nom de Nasreddine (« victoire de la religion ») et ce tournant personnel complète d’un point de vue spirituel et moral ses choix esthétiques.

Étienne Dinet s’est insurgé publiquement contre des réalités sociales dramatiquement injustes. Il a dit être « forcé de vivre au milieu de cette immonde pourriture coloniale ». Il a joué auprès des autorités françaises un rôle civique important durant la Grande Guerre en martelant l’élémentaire gratitude due aux soldats musulmans indigènes : œuvrer pour le retour des blessés algériens, respecter les rituels musulmans prescrits pour les enterrements, remplacer les croix évidemment inadaptées par des stèles pour les pierres tombales.

L’IMA-Tourcoing consacre une exposition à la destinée hors-du-commun du plus hétérodoxe des peintres orientalistes français : Etienne Dinet (1861-1929), le seul peintre orientaliste qui échappe au procès fait aujourd’hui au regard colonial.

L’IMA-Tourcoing présente une rétrospective consacrée à l’œuvre d’Étienne Dinet, peintre à la destinée hors du commun. Cette exposition cherchera à résoudre un double mystère : comment l’œuvre d’un peintre français d’époque coloniale est-elle devenue une des identités visuelles de l’Algérie après l’Indépendance ? Pourquoi Étienne Dinet est l’un des seuls peintres orientalistes qui échappe au reproche d’exotisme et au procès fait au regard colonial ?

L’IMA-Tourcoing présente à partir du 16 septembre 2023 une rétrospective consacrée à l’œuvre d’Étienne Dinet, peintre à la destinée hors-du-commun. Cette exposition cherchera à résoudre un double mystère : Comment l’œuvre d’un peintre français d’époque coloniale est-elle devenue une des identités visuelles de l’Algérie après l’indépendance ? Pourquoi Étienne Dinet est un des seuls peintres orientalistes qui échappe au reproche d’exotisme et au procès fait au regard colonial ?

Étienne Dinet a reçu à Paris une formation académique mais ses seuls maîtres furent Rembrandt dont il étudia les œuvres ainsi que Delacroix dont il occupa un temps l’atelier. Son réalisme puise d’emblée dans les exemples de Jean-François Millet et de Jules Bastien-Lepage. Il a médité les leçons des impressionnistes et des post-impressionnistes sans en tirer les mêmes leçons que les modernes. Il découvre l’Algérie en 1884 à l’occasion d’un voyage. À partir de 1895, il renonce à toute source d’inspiration en dehors des sujets algériens et s’installe dans l’oasis de Bou-Saâda dans la famille de Slimane Ben Ibrahim qui sera son trait d’union avec la société saharienne.

Sa peinture s’inscrit en décalage avec les peintres orientalistes qui ne s’attachaient qu’aux aspects les plus rutilants, le plus souvent fantasmés, d’un « Orient » factice qu’il dénonce. Dinet est avant tout un peintre réaliste, mais il peint un réel extraordinaire. Il découpe des fragments de réalité afin de restituer à ses sujets la plus grande dignité. L’unité, la continuité et la puissance de conviction de sa démarche passe par sa peinture mais également par ses illustrations de nombreux textes poétiques, historiques ou légendaires qui seront présentés dans l’exposition.

Étienne Dinet va se convertir à l’islam en 1913 sous le nom de Nasreddine (« victoire de la religion ») et ce tournant personnel complète d’un point de vue spirituel et moral ses choix esthétiques.

Les Bavards à Bou Saâda, 1896, Galerie Ary Jan, Paris

Etienne Dinet peignant sur sa terasse avec ses modèles, 1905.

© ANOM, Sous réserve des droits réservés aux auteurs et ayants droit

L’IMA-Tourcoing consacre une exposition à la destinée hors-du-commun du plus hétérodoxe des peintres orientalistes français : Etienne Dinet (1861-1929), le seul peintre orientaliste qui échappe au procès fait aujourd’hui au regard colonial.

Étienne Dinet s’est insurgé publiquement contre des réalités sociales dramatiquement injustes. Il a dit être « forcé de vivre au milieu de cette immonde pourriture coloniale ». Il a joué auprès des autorités française un rôle civique important durant la Grande Guerre en martelant l’élémentaire gratitude due aux soldats musulmans indigènes : œuvrer pour le retour des blessés algériens, respecter les rituels musulmans prescrits pour les enterrements, replacer les croix évidemment inadaptées par des stèles pour les pierres tombales.

C’est dans ce cadre qu’il publie La Vie de Mohammed, prophète d’Allah en 1918 et qu’il milite pour la construction d’une mosquée à Paris, réalisée en 1926. Point culminant de sa vie, Étienne Dinet va effectuer le pèlerinage à La Mecque (Hajj) en 1929, peu avant son décès survenue la même année. À sa mort, il est enterré selon son souhait à Bou Saâda.

Célébré de son vivant comme un acteur essentiel du dialogue entre la France et l’islam, le Président Paul Doumer a tenu à inaugurer lui-même la rétrospective qui lui fût consacrée un an après sa mort.

Longtemps après sa disparition, Étienne Dinet a fini par occuper une place éminente dans la culture algérienne. L’historiographie nationale retient son adhésion aux valeurs de la société algérienne, en le dissociant du colonialisme allant jusqu’à faire de lui une figure du nationalisme naissant, ce qu’il ne fut pas. Son réalisme esthétique est rétrospectivement interprété comme une dénonciation politique. À l’écart de l’entreprise coloniale de folklorisation de la société indigène, il est devenu une image de l’Algérie à l’étranger et un trésor du patrimoine algérien.

Cette exposition – la première consacrée à l’artiste depuis 1930 – réunit une centaine d’œuvres. Elle a pour ambition de montrer les différents aspects de Dinet, ainsi que sa personnalité humaniste, un grand peintre qui est aussi un trait d’union et un pont pour réconcilier les mémoires

C’est dans ce cadre qu’il publie La Vie de Mohammed, prophète d’Allah en 1918 et qu’il milite pour la construction d’une mosquée à Paris, réalisée en 1926. Point culminant de sa vie, Étienne Dinet va effectuer le pèlerinage à La Mecque (Hajj) en 1929, peu avant son décès survenue la même année. À sa mort, il est enterré selon son souhait à Bou-Saâda.

Célébré par la République comme un acteur essentiel du rapprochement entre la France et l’islam, le Président Paul Doumer a tenu à inaugurer lui-même la rétrospective qui lui fût consacrée un an après sa mort. L’action d’Étienne Dinet s’était toujours ancrée dans le respect scrupuleux des idéaux républicains.

Longtemps après sa disparition, Étienne Dinet a fini par occuper une place éminente dans la culture algérienne. L’historiographie nationale retient son adhésion aux valeurs de la société algérienne, en le dissociant du colonialisme allant jusqu’à faire de lui une figure du nationalisme naissant, ce qu’il ne fut pas. Son réalisme esthétique est rétrospectivement interprété comme une dénonciation politique. À l’écart de l’entreprise coloniale de folklorisation de la société indigène, il est devenu une image de l’Algérie à l’étranger et un trésor du patrimoine algérien.

Cette exposition – la première consacrée à l’artiste depuis 1930 – réunit une centaine d’œuvres. Elle a pour ambition de montrer les différents aspects de Dinet, ainsi que sa personnalité humaniste, un grand peintre qui est aussi un trait d’union et un pont pour réconcilier les mémoires.

Commissariat
Mario Choueiry, historien de l’art, chargé de mission à l’Institut du monde arabe, Paris

Les Bavards à Bou Saâda, 1896, Galerie Ary Jan, Paris

Etienne Dinet peignant sur sa terasse avec ses modèles, 1905.

© ANOM, Sous réserve des droits réservés aux auteurs et ayants droit

C’est dans ce cadre qu’il publie La Vie de Mohammed, prophète d’Allah en 1918 et qu’il milite pour la construction d’une mosquée à Paris, réalisée en 1926. Point culminant de sa vie, Étienne Dinet va effectuer le pèlerinage à La Mecque (Hajj) en 1929, peu avant son décès survenu la même année. À sa mort, il est enterré selon son souhait à Bou-Saâda.

Célébré par la République comme un acteur essentiel du rapprochement entre la France et l’islam, le Président Paul Doumer a tenu à inaugurer lui-même la rétrospective qui lui fût consacrée un an après sa mort. L’action d’Étienne Dinet s’était toujours ancrée dans le respect scrupuleux des idéaux républicains.

Longtemps après sa disparition, Étienne Dinet a fini par occuper une place éminente dans la culture algérienne. L’historiographie nationale retient son adhésion aux valeurs de la société algérienne, en le dissociant du colonialisme allant jusqu’à faire de lui une figure du nationalisme naissant, ce qu’il ne fut pas. Son réalisme esthétique est rétrospectivement interprété comme une dénonciation politique. À l’écart de l’entreprise coloniale de folklorisation de la société indigène, il est devenu une image de l’Algérie à l’étranger et un trésor du patrimoine algérien.

Cette exposition – la première consacrée à l’artiste depuis 1930 – réunit une centaine d’œuvres. Elle a pour ambition de montrer les différents aspects de Dinet, ainsi que sa personnalité humaniste, un grand peintre qui est aussi un trait d’union et un pont pour réconcilier les mémoires.

Commissariat
Mario Choueiry, historien de l’art, chargé de mission à l’Institut du monde arabe, Paris

C’est dans ce cadre qu’il publie La Vie de Mohammed, prophète d’Allah en 1918 et qu’il milite pour la construction d’une mosquée à Paris, réalisée en 1926. Point culminant de sa vie, Étienne Dinet va effectuer le pèlerinage à La Mecque (Hajj) en 1929, peu avant son décès survenue la même année. À sa mort, il est enterré selon son souhait à Bou-Saâda.

Célébré de son vivant comme un acteur essentiel du dialogue entre la France et l’islam, le Président Paul Doumer a tenu à inaugurer lui-même la rétrospective qui lui fût consacrée un an après sa mort.

Longtemps après sa disparition, Étienne Dinet a fini par occuper une place éminente dans la culture algérienne. L’historiographie nationale retient son adhésion aux valeurs de la société algérienne, en le dissociant du colonialisme allant jusqu’à faire de lui une figure du nationalisme naissant, ce qu’il ne fut pas. Son réalisme esthétique est rétrospectivement interprété comme une dénonciation politique. À l’écart de l’entreprise coloniale de folklorisation de la société indigène, il est devenu une image de l’Algérie à l’étranger et un trésor du patrimoine algérien.

Cette exposition – la première consacrée à l’artiste depuis 1930 – réunit une centaine d’œuvres. Elle a pour ambition de montrer les différents aspects de Dinet, ainsi que sa personnalité humaniste, un grand peintre qui est aussi un trait d’union et un pont pour réconcilier les mémoires

Commissariat
Mario Choueiry, historien de l’art, chargé de mission à l’IMA

Meddah aveugle chantant l’épopée du prophète ou Le Conteur arabe

Collection privée

Étienne Dinet s’est insurgé publiquement contre des réalités sociales dramatiquement injustes. Il a dit être « forcé de vivre au milieu de cette immonde pourriture coloniale ». Il a joué auprès des autorités française un rôle civique important durant la Grande Guerre en martelant l’élémentaire gratitude due aux soldats musulmans indigènes : œuvrer pour le retour des blessés algériens, respecter les rituels musulmans prescrits pour les enterrements, replacer les croix évidemment inadaptées par des stèles pour les pierres tombales.

C’est dans ce cadre qu’il publie La Vie de Mohammed, prophète d’Allah en 1918 et qu’il milite pour la construction d’une mosquée à Paris, réalisée en 1926. Point culminant de sa vie, Étienne Dinet va effectuer le pèlerinage à La Mecque (Hajj) en 1929, peu avant son décès survenue la même année. À sa mort, il est enterré selon son souhait à Bou Saâda.

Célébré de son vivant comme un acteur essentiel du dialogue entre la France et l’islam, le Président Paul Doumer a tenu à inaugurer lui-même la rétrospective qui lui fût consacrée un an après sa mort.

Longtemps après sa disparition, Étienne Dinet a fini par occuper une place éminente dans la culture algérienne. L’historiographie nationale retient son adhésion aux valeurs de la société algérienne, en le dissociant du colonialisme allant jusqu’à faire de lui une figure du nationalisme naissant, ce qu’il ne fut pas. Son réalisme esthétique est rétrospectivement interprété comme une dénonciation politique. À l’écart de l’entreprise coloniale de folklorisation de la société indigène, il est devenu une image de l’Algérie à l’étranger et un trésor du patrimoine algérien.

Cette exposition – la première consacrée à l’artiste depuis 1930 – réunit une centaine d’œuvres. Elle a pour ambition de montrer les différents aspects de Dinet, ainsi que sa personnalité humaniste, un grand peintre qui est aussi un trait d’union et un pont pour réconcilier les mémoires

Étienne Dinet s’est insurgé publiquement contre des réalités sociales dramatiquement injustes. Il a dit être « forcé de vivre au milieu de cette immonde pourriture coloniale ». Il a joué auprès des autorités française un rôle civique important durant la Grande Guerre en martelant l’élémentaire gratitude due aux soldats musulmans indigènes : œuvrer pour le retour des blessés algériens, respecter les rituels musulmans prescrits pour les enterrements, replacer les croix évidemment inadaptées par des stèles pour les pierres tombales.

C’est dans ce cadre qu’il publie La Vie de Mohammed, prophète d’Allah en 1918 et qu’il milite pour la construction d’une mosquée à Paris, réalisée en 1926. Point culminant de sa vie, Étienne Dinet va effectuer le pèlerinage à La Mecque (Hajj) en 1929, peu avant son décès survenue la même année. À sa mort, il est enterré selon son souhait à Bou Saâda.

Célébré de son vivant comme un acteur essentiel du dialogue entre la France et l’islam, le Président Paul Doumer a tenu à inaugurer lui-même la rétrospective qui lui fût consacrée un an après sa mort.

Longtemps après sa disparition, Étienne Dinet a fini par occuper une place éminente dans la culture algérienne. L’historiographie nationale retient son adhésion aux valeurs de la société algérienne, en le dissociant du colonialisme allant jusqu’à faire de lui une figure du nationalisme naissant, ce qu’il ne fut pas. Son réalisme esthétique est rétrospectivement interprété comme une dénonciation politique. À l’écart de l’entreprise coloniale de folklorisation de la société indigène, il est devenu une image de l’Algérie à l’étranger et un trésor du patrimoine algérien.

Cette exposition – la première consacrée à l’artiste depuis 1930 – réunit une centaine d’œuvres. Elle a pour ambition de montrer les différents aspects de Dinet, ainsi que sa personnalité humaniste, un grand peintre qui est aussi un trait d’union et un pont pour réconcilier les mémoires

Meddah aveugle chantant l’épopée du prophète ou Le Conteur arabe

Collection privée

Es Sodjoud ou La prosternation, prière au lever du jour

Collection privée

Es Sodjoud ou La prosternation, prière au lever du jour

Collection privée

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> Archives nationales d’outre-mer, Aix-en-Provence
> Musée d’Art et d’Histoire de Narbonne
> Musée Fabre, Montpellier
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