
20 septembre 2025 > 11 janvier 2026
Du mardi au dimanche | 13h > 17h45
Tarif plein 5 € / Tarif réduit : 4 €
Accessible sur le Pass Culture | Gratuit C’Art
Visites guidées 7 / 6 €
Samedi et dimanche | 15h30
Après sa présentation à l’Institut du monde arabe (Paris), l’exposition poursuit sa route dans un format enrichi à l’Institut du monde arabe-Tourcoing.
Grâce à de nombreux objets d’époque abbasside, issus des collections de l’Institut du monde arabe, mis en scène dans les décors imaginés par les équipes d’Assassin’s Creed Mirage, treizième opus majeur de la série vidéoludique d’Ubisoft, l’exposition met en lumière une période historique captivante, une zone géographique essentielle et une civilisation brillante. Elle donne à voir la splendeur d’une ville-monde en plein âge d’or : Bagdad.
En partenariat avec Ubisoft

Après sa présentation à l’Institut du monde arabe (Paris), l’exposition poursuit sa route dans un format enrichi à l’Institut du monde arabe-Tourcoing.
Grâce à de nombreux objets d’époque abbasside, issus des collections de l’Institut du monde arabe, mis en scène dans les décors imaginés par les équipes d’Assassin’s Creed Mirage, treizième opus majeur de la série vidéoludique d’Ubisoft, l’exposition met en lumière une période historique captivante, une zone géographique essentielle et une civilisation brillante. Elle donne à voir la splendeur d’une ville-monde en plein âge d’or : Bagdad.
En partenariat avec Ubisoft
Depuis 750, les Abbassides gouvernent l’immense Empire islamique. En 762, Al-Mansûr, deuxième calife de la dynastie, décide de fonder une nouvelle capitale. Il en choisit l’emplacement sur la rive occidentale du fleuve Tigre, dans l’actuel Irak. Débute alors la construction d’une ville majestueuse sur un plan circulaire avec le palais califal en son centre. Al-Mansûr la nomme Madinat al-Salam, la « cité de la paix ».
Comment restituer cette ville-monde, capitale politique, scientifique, culturelle et marchande, rasée par les Mongols en 1258 et sur les ruines de laquelle la Bagdad moderne s’est construite ?
L’exposition propose une réponse à cette question en faisant dialoguer les faits historiques et les objets des collections de l’Institut du monde arabe, dont certains n’ont pas été vus depuis plus de vingt ans, avec du contenu issu d’Assassin’s Creed Mirage : dessins conceptuels (concept arts), extraits vidéo et audio, images des personnages et lieux historiques présents dans le jeu etc. De cette mise en regard émerge une véritable immersion dans la Bagdad de l’époque, avec notamment une salle qui plonge littérallement le visiteur dans une rue du souk.
Ce dialogue s’articule notamment autour de cinq thématiques : la Ville Ronde, les Religions, l’Administration et la Politique, les Arts et la Culture, les Sciences et Techniques. L’exposition établit aussi un parallèle entre les différents savoir-faire qui ont permis, d’une part de faire la gloire de Bagdad pendant des siècles, et de l’autre, de reconstruire digitalement cette ville disparue dans le jeu vidéo Assassin’s Creed Mirage, plus de 700 ans après sa destruction.
Cette exposition est donc une introduction à l’incroyable richesse de cette Bagdad disparue. Une invitation à un voyage dans le temps qui éveillera l’intérêt et la curiosité des visiteurs, brisant au passage les clichés parfois associés à cette ville millénaire.


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Jarre à eau, AI 91-04, collections du musée de l'IMA, Photo DR

Dinar au nom d'al-Ma'mun en or, collections du musée de l'IMA. Photo : Nabil Boutros

Coupelle lustrée à décors de rosaces et de merlons, collections du musée de l'IMA. Photo : Philippe Maillard

Buste et tête de figurine, céramique à décor moulé, collections du musée de l'IMA. Photo : Philippe Maillard

Aiguière, collections du musée de l'IMA. Photo : DR
Depuis 750, les Abbassides gouvernent l’immense Empire islamique. En 762, Al-Mansûr, deuxième calife de la dynastie, décide de fonder une nouvelle capitale. Il en choisit l’emplacement sur la rive occidentale du fleuve Tigre, dans l’actuel Irak. Débute alors la construction d’une ville majestueuse sur un plan circulaire avec le palais califal en son centre. Al-Mansûr la nomme Madinat al-Salam, la « cité de la paix ».
Comment restituer cette ville-monde, capitale politique, scientifique, culturelle et marchande, rasée par les Mongols en 1258 et sur les ruines de laquelle la Bagdad moderne s’est construite ?
L’exposition propose une réponse à cette question en faisant dialoguer les faits historiques et les objets des collections de l’Institut du monde arabe, dont certains n’ont pas été vus depuis plus de vingt ans, avec du contenu issu d’Assassin’s Creed Mirage : dessins conceptuels (concept arts), extraits vidéo et audio, images des personnages et lieux historiques présents dans le jeu etc. De cette mise en regard émerge une véritable immersion dans la Bagdad de l’époque, avec notamment une salle qui plonge littéralement le visiteur dans une rue du souk.

Jarre à eau, AI 91-04, collections du musée de l'IMA, Photo DR

Coupelle lustrée à décors de rosaces et de merlons, collections du musée de l'IMA. Photo : Philippe Maillard

Dinar au nom d'al-Ma'mun en or, collections du musée de l'IMA. Photo : Nabil Boutros

Buste et tête de figurine, céramique à décor moulé, collections du musée de l'IMA. Photo : Philippe Maillard
Ce dialogue s’articule notamment autour de cinq thématiques : la Ville Ronde, les Religions, l’Administration et la Politique, les Arts et la Culture, les Sciences et Techniques. L’exposition établit aussi un parallèle entre les différents savoir-faire qui ont permis, d’une part de faire la gloire de Bagdad pendant des siècles, et de l’autre, de reconstruire digitalement cette ville disparue dans le jeu vidéo Assassin’s Creed Mirage, plus de 700 ans après sa destruction.
Cette exposition est donc une introduction à l’incroyable richesse de cette Bagdad disparue. Une invitation à un voyage dans le temps qui éveillera l’intérêt et la curiosité des visiteurs, brisant au passage les clichés parfois associés à cette ville millénaire.

Aiguière, collections du musée de l'IMA. Photo : DR
Commissariat
Institut du monde arabe
Eric Delpont, directeur du musée
Élodie Roblain, chargée d’actions culturelles
Ubisoft
Institut du monde arabe-Tourcoing
Katia Boudoyan, directrice
Simon Castel, expositions
Un partenariat

Commissariat
Institut du monde arabe
Éric Delpont, directeur du musée
Élodie Roblain, chargée d’actions culturelles
Ubisoft
Amy Jenkins, directrice partenariats
Romain Fascialé, chef de projets
Institut du monde arabe-Tourcoing
Katia Boudoyan, directrice
Simon Castel, expositions
Un partenariat
